samedi 28 février 2009

OUTCOOL BAR ET SES AMIS


































vendredi 27 février 2009

Les personnels sont venus au gymnase Mahamasina


Une délégation du personnel de l’Assemblée Nationale a présenté, dans la matinée du lundi 9 février 2009 au Gymnase couvert de Mahamasina, ses condoléances aux familles des victimes du carnage d’Ambohitsorohitra. La délégation, conduite par un directeur de cabinet, y a été chaleureusement accueillie.

Un directeur de cabinet a pris la parole au nom du personnel de la chambre basse pour réconforter les familles éplorées. La délégation a par la suite pris place parmi l’assistance.

« Ce geste est exemplaire » se félicite Michèle Ratsivalaka, le PDS de la capitale désigné par Andry Rajoelina. Elle a profité de cette occasion pour appeler les fonctionnaires à rejoindre le mouvement de transition vers la quatrième République. Un autre animateur de cette veillée mortuaire a même lancé des avertissements. « Rejoignez le mouvement avant qu’il ne soit trop tard, avant que vous ne subissiez le jugement populaire ». Tels sont les propos de l’animateur au gymnase couvert de Mahamasina ce lundi 9 février.

Les forces de l’ordre ont dispersé sans ménagement les partisans du maire déchu, Andry Rajoelina, qui s’étaient rassemblés, ce jeudi, autour du stade municipal de Mahamasina, à proximité de la mairie d’Antananarivo. Les quelque 3 000 manifestants étaient venus à l’appel d’Andry Rajoelina pour « symboliquement » chassé le nouveau maire de son bureau.


Mahamasina : les partisans du maire déchu dispersés par la police


Les 3 000 manifestants de l’opposition ont été dispersés par les forces de l’ordre malgaches à coup de grenades assourdissantes. Selon les autorités, aucun blessé n’est à déplorer au cours de cette opération.

A Madagascar, la fusillade de samedi 7 février fait 28 morts et 212 blessés

Au moins 28 personnes ont été tuées et 212 autres blessées samedi à Antananarivo après que la garde présidentielle a ouvert le feu sur des partisans du maire déchu de la capitale Andry Rajoelina, selon un nouveau bilan obtenu dimanche 8 février auprès de la gendarmeriecroix-rouge-madagascar

"Dans les trois principaux hôpitaux d'Antananarivo, on a recensé 28 morts et 212 blessés", a déclaré le capitaine Lala Rakotonirina, chef du service des relations publiques du commandement de la gendarmerie nationale de Madagascar.

La majeure partie des blessés et victimes ont été transportées dans l'hôpital universitaire de la ville.

"90% des blessés souffrent d'impacts de projectiles métalliques", a déclaré le directeur technique de l'hôpital, Eric Rambinison, précisant que les derniers blessés étaient arrivés aux urgences peu avant minuit.

La garde présidentielle a tiré samedi 7 février dans l'après-midi sur des partisans d'Andry Rajoelina qui les avait appelés à marcher sur le palais abritant le bureau du président dans le centre-ville d'Antananarivo. La présidence elle-même se trouve à environ 12 km à l'extérieur de la ville.

Ces victimes portent à une centaine le nombre de personnes tuées dans les violences qui ont émaillé depuis le 26 janvier le bras de fer entre Andry Rajoelina et le président Marc Ravalomanana dans la grande île de l'océan Indien

Dimanche matin, la situation était calme
La soirée de samedi 7 février a été marquée par des tentatives de pillages dans quatre quartiers de la capitale, a ajouté le capitaine Rakotonirina. "Il y a eu des tirs de sommations jusqu'à minuit. Dans ces opérations, il n'y a pas eu de blessés ou de morts. Une trentaine de pillards ont été arrêtés", a-t-il déclaré.

Dimanche matin, la situation était toutefois calme et l'activité quasi-normale dans la capitale malgache, a constaté un journaliste de l'AFP.

Des Tananariviens endimanchés prenaient le chemin de la messe tandis que les taxis de la ville circulaient normalement dans le quartier des ministères ou sur la place du 13-Mai, théâtre du rassemblement samedi d'au moins 20.000 opposants.

De nombreuses chaussures et casquettes orange, la couleur du mouvement de contestation emmené par d'Andry Rajoelina, jonchaient les pavés du parvis du palais présidentiel, témoignant de la cohue qui a suivi la fusillade.

A l'hôpital universitaire HJRA d'Antananarivo, plusieurs dizaines d'habitants inquiets tentaient de localiser un proche ou un ami n'ayant pas donné de nouvelles. Des listes de blessés étaient placardées sur les murs des urgences tandis que la morgue, où sont encore entreposés une quinzaine de cadavres, était ouverte au public.
HoroscopeLignes de la main
HoroscopeLignes de la main
referencement gratuit

jeudi 26 février 2009



Suspension de toute manifestation de rue, tel est le quatrième point de l’accord conclu entre le président Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina le samedi 21 février 2009 au Bucas Antanimena. Après l’appel lancé par les quatre présidents du Conseil des églises chrétiens de Madagascar (FFKM), le président de la République Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, se sont rencontré à Antanimena dans l’après-midi du samedi 21 février 2009.

Si Andry Rajoelina avait déjà prévu de faire une grande marche ce samedi avec ses partisans de la Place 13 mai, il a dû l’annuler pour assister à cette rencontre. Une rencontre à huis clos d’environ 50 minutes. Après la rencontre, et une fois tous les participants au dialogue partis, les quatre présidents des églises membres du FFKM ont convoqué la presse pour transmettre le communiqué qui contient les cinq points conclus d’un commun accord par les deux protagonistes dans cette crise.

Andry Rajoelina, pas « président »

Le communiqué lu par le FFKM ne fait pas mention du titre de « président » pour Andry Rajoelina. Il indique précisément « Monsieur Andry Rajoaelina » Autrement dit le FFKM ne lui reconnaît pas la légitimité et l’autorité que les manifestants de la Place 13 mai lui accordent. Il ne prend pas en compte la structure conçue par cette fraction de la population qui se ligue derrière Andry Rajoelina qui s’est proclamé « président de la Haute Autorité pour la Transition ». Dans le communiqué, le FFKM ne fait mention d’aucun titre pour Andry Rajoelina.

Des points de l’accord obligent les parties en présence à déposer leurs armes en quelque sorte. Les deux parties ont convenu qu’elles mettent un coup d’arrêt aux propos et commentaires radiodiffusés encourageant la crise. Les manifestations de rue et les rassemblements aux fins de démonstration de force sont suspendus.

Il a en outre été admis de mettre fin aux campagnes de désinformations et aux arrestations abusives à caractère politique. Andry Rajoelina et les autres personnalités sur lesquelles pèsent des mandats d’arrêt ne seront pas poursuivies.

En respectant ces clauses, Andry Rajoelina risque de rencontrer des problèmes au niveau de ses partisans de la Place 13 mai. Après les massacres à Ambohitsorohitra, ces derniers ont déjà exprimé leur rejet d’une entente avec Marc Ravalomanana. Leur seul objectif est la démission du président de la République. Une revendication difficile à réaliser pour le moment.img_54_g

Démocratie, pouvoir, image et stratégies

lecon-de-democratiephoto-vue-sur-wwwtv5org



Ce qui se passe maintenant dans l'antre péquiste ne surprendra personne de ma génération : le PQ est en pleine crise de la quarantaine. Comment pourrait-il en être autrement au tournant d'un parcours marqué par un discours devenu aussi captieux. Ce parti caractérisé au départ par la recherche, la défense et l'expression démocratiques de notre identité dans un cadre politique ouvert aux débats publics est devenu, comme les autres, obnubilé par le pouvoir et l'électoralisme. Les débats ont fait place aux stratégies, la démocratie, au culte du chef, l'identité, à l'image bien léchée et à la langue de bois. Le PQ est devenu un produit politique parmi d'autres, erronément libellé québécois -- sauf dans son acception territoriale.

Je me limiterai dans ce billet à souligner le culte du chef. Les partis n'en ont que pour leur chef : on ne montre que le chef (les ministres sont montrés seulement dans leur ministère, les députés, seulement dans leur comté) seul le chef peut parler universellement ou 'au nom du parti' (les ministres ne parlent que de leur ministère, les députés, que de et dans leur comté). Le PQ comme les autres. Alors, il arrive ce qui devait arriver : comme seul un chef peut succéder au chef, ministres et députés sont déboutés faute d'avoir été suffisamment vus et entendus. Les Libéraux ont ainsi fait appel à Jean Charest, un chef conservateur d'Ottawa, comme les péquistes l'avaient fait avant eux avec un autre chef d'Ottawa, Lucien Bouchard, et comme il aurait été tellement simple de le refaire en remplaçant le chef Bernard Landry par le chef Gilles Duceppe, d'Ottawa également et étrangement.

Le mythe du chef nous colle à la peau depuis un certain Maurice Duplessis qu'on ne cesse pourtant de pourfendre chez les bien-pensants. Et, comble de ce syndrome du chef, la majorité péquiste voudrait maintenant que le chef autoproclamé Bernard Landry démissionnaire ne soit le seul â pouvoir se succéder à lui-même... Réaction fort compréhensible dans un contexte où seul le chef du parti et du gouvernement prend parole et peut ainsi faire croire qu'il est seul maître d'oeuvre du moindre bon coup politique. Stratégie à bien court terme puisqu'elle étouffe toute manifestation de leadership dans l'entourage du chef, de la part des ministres ou des députés. On en subit collectivement le contrecoup maintenant : comment des candidats à la chefferie marqués au coin de la subordination silencieuse et obligée à leur chef peuvent-ils prétendre avoir le leadership nécessaire pour diriger un parti, une province et, prétendûment, un pays?

Pour un gouvernement et un parti, les grands débats sur la place publique sont plus risqués certes sur le plan électoral que les assemblées en catimini. Mais ils sont aussi porteurs de changements espérés et tribunes inespérées où se manifestent les leaders dont nous aurons besoin demain. Dans cette campagne à la chefferie, le PQ récolte ce qu'il a semé; le drame, c'est qu'il puisse encore se dire québécois.



Annuaire de Blogs

L'enfant devient turbulent

Face à une conjoncture morose, les leaders se rapprochent, les seconds couteaux craignent pour leur avenir, les succursalistes se lancent et de nouveaux venus affluent. Le temps des grandes manœuvres est arrivé.

Le marché de l’enfant est entré en turbulence. Après dix années de croissance ininterrompue, la progression des ventes n’atteint plus 1% depuis deux ans. L’IFM estime le chiffre d'affaires total du secteur à 1,518 milliards d’euros, grâce à une dépense stable de 266 € en moyenne par an et par enfant.

Cet apparent marasme n’empêche pas la course aux ouvertures menées par les principaux acteurs sous enseigne. Les GSS, qui réalisent près du quart des ventes, sont toujours leaders mais les chaînes de moins de 400 m² (18% de part de marché) se montrent les plus dynamiques et dépassent désormais les hypers et supermarchés. Tous canaux confondus, les distributeurs spécialisés, qui comprennent les réseaux de franchise, trustent plus de 40% des ventes.








Une douzaine de réseaux de plus de 100 unités, une multitude d’acteurs mineurs et une dizaine de nouveaux concepts, qui tente sa chance chaque année, se partagent le marché hexagonal, le plus concurrentiel d’Europe.

Même s’ils s’en défendent, les leaders furent les 1ers à sentir le vent tourner. Le rachat de la chaîne Jacadi par le groupe Okaïdi et l’échec de la fusion entre Du Pareil Au Même et Orchestra en sont les révélateurs les plus frappants. Les synergies recherchées touchent essentiellement au sourcing et au développement international, relais de croissance incontournable face à la conjoncture hexagonale.



N°1 européen, le groupe Zannier, après avoir fait son marché d’enseignes – une douzaine aujourd’hui – couvre l’ensemble des niveaux de gamme et lance des concepts multimarques. Il ne fait appel à des partenaires que pour compléter son réseau, à l’instar de Petit Bateau, Petit Boy, Sergent Major ou Clayeux.

La véritable révolution est intervenue au début des années 90 avec l’arrivée de concepts plus modernes, à l’image d’Orchestra, La Compagnie des Petits et Okaïdi. Leur réussite rapide repose sur la bonne adéquation prix/produit, grâce un sourcing internationalisé, et le recours à la franchise pour ouvrir rapidement des points de vente.

Leurs succès inspirent les derniers succursalistes – Tout Compte Fait, Du Pareil Au Même... – ainsi que des concepts étrangers ou des déclinaisons pour enfant de marque adulte plus haut de gamme, comme Mexx ou Cacharel. Outre les collections, le nerf de la guerre est désormais la performance logistique, obtenue grâce à des rapprochements qui provoquent les effets de synergies indispensables. La bataille ne fait que commencer.c-7-065






référencement gratuit

• référencement • positionnement • référencement manuel professionnel discount •

annuaires et moteurs